Le Bateau Feu / Scène nationale Dunkerque appartient au réseau des soixante-dix scènes nationales labellisées par le Ministère de la Culture. Il met en oeuvre un projet centré sur le spectacle vivant : diffusion pluridisciplinaire (théâtre, danse, musique, cirque, théâtre d’objets, opéra), production et coproduction, accueil en résidence, développement des publics, et rayonnement territorial.
Initié en 2020 par Le Bateau Feu, le réseau Théâtres en signes rassemble 12 structures au niveau national qui s’engagent à valoriser la Langue des Signes Française sur les plateaux de théâtre : accessibilité, création et accompagnement des artistes Sourds. La prochaine réunion du réseau est organisée au Bateau Feu les 6 et 7 novembre à l’occasion de la création de l’interprétation en LSF du spectacle "L’Enfant masacara" de Barbaque Compagnie.
Dans un collège, Brandon tire sur Leticia, née Larry, après qu’elle lui ait demandé d’être son Valentin. Cette histoire de transphobie interroge l’adolescence, l’identité et le désir. Caroline Guyot met en scène ce drame avec théâtre, danse et musique. Les quatre interprètes incarnent avec intensité la trajectoire tragique de cette enfant mascara.
Dans un collège, Brandon tire sur Leticia, née Larry, après qu’elle lui ait demandé d’être son Valentin. Cette histoire de transphobie interroge l’adolescence, l’identité et le désir. Caroline Guyot met en scène ce drame avec théâtre, danse et musique. Les quatre interprètes incarnent avec intensité la trajectoire tragique de cette enfant mascara.
Initié en 2020 par Le Bateau Feu, le réseau Théâtres en signes rassemble 12 structures au niveau national qui s’engagent à valoriser la Langue des Signes Française sur les plateaux de théâtre : accessibilité, création et accompagnement des artistes Sourds. La prochaine réunion du réseau est organisée au Bateau Feu les 6 et 7 novembre à l’occasion de la création de l’interprétation en LSF du spectacle "L’Enfant masacara" de Barbaque Compagnie.
Dans un collège, Brandon tire sur Leticia, née Larry, après qu’elle lui ait demandé d’être son Valentin. Cette histoire de transphobie interroge l’adolescence, l’identité et le désir. Caroline Guyot met en scène ce drame avec théâtre, danse et musique. Les quatre interprètes incarnent avec intensité la trajectoire tragique de cette enfant mascara.
Dans sa nouvelle chorégraphie, Lionel Bègue, artiste complice du Bateau Feu, s’inspire du
passage piéton de Shibuya à Tokyo. Fasciné par la fluidité des corps anonymes, il met en scène
sept interprètes. D’abord indifférents, ils se rapprochent peu à peu, créant des interactions
sensibles et sensuelles. Cette chorégraphie illustre l’ultramoderne solitude urbaine. "Shibuya" est
une création régionale.
Dans sa nouvelle chorégraphie, Lionel Bègue, artiste complice du Bateau Feu, s’inspire du passage piéton de Shibuya à Tokyo. Fasciné par la fluidité des corps anonymes, il met en scène sept interprètes. D’abord indifférents, ils se rapprochent peu à peu, créant des interactions sensibles et sensuelles. Cette chorégraphie illustre l’ultramoderne solitude urbaine. "Shibuya" est une création régionale.
L’Office National de Diffusion Artistique organise le 14 novembre à Dunkerque une rencontre professionnelle autour de la thématique "La marionnette au carrefour des disciplines". Cette rencontre réunira des artistes, des programmatrices/programmateurs et des repsonsables de structures. Elle se déroulera dans la journée au Bercail et se terminera au Bateau Feu avec la représentation du spectacle "Le Ring de Katharsy" d’Alice Laloy.
Après Pinocchio(Live)#3, Alice Laloy revient avec une nouvelle création inspirée des jeux vidéo. Sur une scénographie stupéfiante, deux joueurs s’affrontent à travers des avatars à la gestuelle étrange, sous l’arbitrage de Katharsy. Le jeu devient de plus en plus violent. Alice Laloy mêle corps, objets, théâtre, danse, acrobatie et musique, pour une réflexion ludique sur la compétition et la manipulation.
Joshua Weilerstein prend la tête de l’Orchestre National de Lille avec un concert inaugural au Bateau Feu. Il dirige "The Seamstress", un concerto pour violon d’Anna Clyne, interprété par la violoniste ukrainienne Diana Tishchenko. Suivent les "Danses symphoniques" de Rachmaninov, puis l’ouverture "Leonore III" de Beethoven. Un programme généreux et spectaculaire pour cette première venue du jeune chef new-yorkais.